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 i didn't come empty handed. (mackenzie)

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Wesley Kincade
Wesley Kincade

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- NOMBRE DE RPS : 3
- ARRIVÉ·E LE : 10/07/2018
- PSEUDO : ΛSMØÐΞUS.
- AVATAR : john krasinski.
- CRÉDITS : Blossom. (ava); tumblr (gifs); ANAPHORE (signa)
- ÂGE : 37 automnes à son actif pour le moment, et oui, c'est la quarantaine approche doucement...
- STATUT : célibataire, ses parents cherchent toujours à le caser, lui ne veut rien entendre même s'il veut fonder une famille de son côté.
- QUARTIER : Manhattan, il réside du côté d'Uptown dans un duplex.
- OCCUPATION : c'est un "fils de", donc il ne fait rien de ses journées officiellement... même s'il cache à tous sa carrière d'écrivain.

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MessageSujet: i didn't come empty handed. (mackenzie)   i didn't come empty handed. (mackenzie) EmptyMer 19 Sep - 15:46

— i didn't come empty handed. —
Seymour ft. Mackenzie

Ce matin, c'est par un bon petit air de musique jazz qu'il fut réveillé, son portable faisant office de réveil et programmé pour qu'il soit tiré des bras de Morphée en douceur. Oui, chaque matin c'était son petit rituel, ça le mettait de bonne humeur en général. S'étirant tout en remuant les doigts de pieds au rythme des cuivres qui résonnaient dans sa chambre, Wesley se tourna vers sa table de nuit pour y attraper son portable et vit le rappel affiché sur l'écran. Il avait rendez-vous après déjeuner à sa maison d'édition pour rendre la version finale de son dernier bouquin. Oui, il en était arrivé au bout, avec deux semaines d'avance. Pas qu'il ait jamais eu de soucis avec les délais, par chance de ce côté là, il n'avait pas encore eut à affronter le terrible syndrome de la page blanche, ce mal terrible qui sévit parmi les auteurs, au sens large du terme. Ça lui arriverait peut-être un jour, qui sait, mais pour le moment, clairement, il ne préférait pas y penser. L'inspiration était là et l'important c'était de se focaliser sur ça. Puis il avait bien assez de complications dans sa vie personnelle pour en plus s'en rajouter dans son boulot. Celui qu'il cachait à tout le monde autour de lui. Non, il ne s'était toujours pas résolu à annoncer à ses parents qu'il ne comptait pas reprendre l'agence immobilière de son père et qu'en fait, il gagnait déjà sa vie depuis huit ans en écrivant des livres qui se vendaient comme des petits pains. Pourquoi ? Parce qu'il savait que ça allait plus que probablement entraîner des tensions entre eux et il ne voulait pas de ça. Il savait que c'était ce que son père espérait depuis toujours, que son seul et unique fils continue de faire vivre ce qu'il avait mis tant d'efforts et d'années à bâtir. Mais ça n'était pas pour lui. Lui son truc c'était l'imaginaire, pas les chiffres et les tractations financières, c'est d'ailleurs bien pour ça qu'il avait un agent.

Quittant son lit pour aller se faire un petit déjeuner digne de ce nom, il essayait de ne pas encore une fois trop s'attarder sur tout ça, se concentrer sur le reste de sa journée plutôt. Il devrait passer chez le blanchisseur pour récupérer son costume ce matin, avant de repartir pour aller déjeuner avec son ancien prof, de passage en ville pour quelques jours. Ce même prof qui l'avait encouragé à se lancer dans cette carrière qu'il cachait à tous. Ça promettait d'être véritablement une bonne journée pour lui grâce à ça, mais aussi car qui disait se rendre à sa maison d'édition, disait croiser Mackenzie. Et ça, c'était un plaisir sur lequel il ne crachait jamais. En effet, de voir la jolie jeune femme était toujours une source de joie pour lui. Après tout, elle était ravissante (ce qui déjà en soit était déjà très agréable), mais surtout, elle était souriante et elle avait de la conversation, ce qu'il appréciait, lui qui radotait toujours un peu, au moins il n'avait pas l'impression de l'ennuyer avec ça quand ils discutaient. Et ce même si c'était principalement de façon professionnelle jusqu'ici. Oui, il n'était pas indifférent à ce qu'elle dégageait, à l'impression de force et d'indépendance qui émanait d'elle. C'était attirant selon lui, une femme qui n'avait pas peur de montrer au reste du monde qu'elle n'avait besoin de personne d'autre pour faire son propre chemin.

Seulement, après avoir avalé les premières gorgées de son café, il soupira doucement. Pourquoi ce soudain changement d'humeur vous me direz ? Tout simplement parce qu'encore une fois, toute cette histoire de double vie lui revenait en plein dans la tronche. Car oui, pour elle, il s'appelait Jehtro, pas Wesley. A elle aussi il avait menti, même si ça n'était pas pour de mauvaises raisons à la base. Plus le temps passait et plus son secret commençait à être pesant, à gangrener de plus en plus d'aspects de sa vie. Jurant un petit coup dans sa barbe, il se força à ne plus y penser et continua donc de suivre son programme pour la journée. Après une rapide douche, il retournait à sa chambre pour se changer. Rien de trop formel, un t-shirt uni blanc avec une veste par-dessus, une paire de jeans et des baskets. Oui il avait un compte en banque qui lui permettait de porter des costumes à plusieurs centaines de dollars mais lui préférait opter pour les échoppes en ville. Mettant son manuscrit dans sa sacoche après s'être entièrement préparé, il pris ses papiers, son portable et ses lunettes de soleil, laissa un mot pour Yolanda sur le frigo pour la prévenir qu'il ne rentrerait que le soir venu puis il quitta le duplex pour aller rejoindre son lieu de rendez-vous. Le déjeuner fut fort agréable, pouvoir revoir son prof lui avait fait un bien fou, comme toujours il se montrait très enthousiaste et fier de voir Wes devenir un écrivain accompli. C'est donc avec un large sourire sur le visage qu'il arrivait à l'étage de sa maison d'édition, s'avançant vers l'accueil où on lui signala qu'il était attendu dans le bureau de Mackenzie. Arrivé à sa porte, il toqua à celle-ci qui était entrouverte, la jeune femme plongée dans la lecture visiblement, le regard rivé à l'écran devant elle. « J'espère que vous lirez ce que je vous apporte avec la même concentration. » dit-il pour signaler sa présence, souriant en la voyant lever la tête aussitôt, prise par surprise. « Désolé, je suis en avance, je sais. Bonjour Miss Howard. » ajouta-t-il, souriant toujours malgré tout alors qu'il entrait dans son bureau pour venir la saluer correctement cette fois.
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Mackenzie Wyatt
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MessageSujet: Re: i didn't come empty handed. (mackenzie)   i didn't come empty handed. (mackenzie) EmptyMer 19 Sep - 22:28

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Wesley Aka Jethro ft. Mackenzie
Lorsque Mackenzie consulta son agenda partagé sur son smartphone, après avoir pris sa douche et appliqué un maquillage léger et subtile, et son cœur bondit dans sa poitrine ! Elle avait rendez-vous avec l’un des auteurs qu’elle affectionnait particulièrement, Jethro. Aussitôt elle se mit en tête de choisir une tenue qui la mettrait en valeurs. Jethro était de loin l’un des auteurs les plus prolifiques et des plus doués de sa génération mais surtout il lui plaisait énormément. Depuis qu’elle l’avait rencontré il y a maintenant 5ans en entrant au service de la maison d’édiitons Ransome House, son petit cœur battait la chamade. Ses collègues de Ransom House se moquaient gentiment d’elle parce qu’à leurs yeux cet auteur était pas mal dans le genre bûcheron ou viking barbue mais elles ne le trouvaient pas sexy pour deux sous. Qu’à cela ne tienne, pour Mackenzie, il était beau et sexy. Les mecs hypers musclés, les petits minets, les dandys, les gravures de modes, elle les laissait volontiers aux autres. Non, elle appréciait sa carrure, sa démarche féline, sa prestance et même la façon, casual, qu’il avait de se vêtir lui plaisait bien. Et au-delà du physique ce qu’elle appréciait par-dessus-tout  c’était sa conversation, son humour et le petit air mystérieux qu’il prenait parfois lorsqu’un sujet semblait le mettre mal à l’aise. Mackenzie n’avait jamais tenté quoique ce soit jusqu’à présent. Elle se disait qu’un homme comme lui devait forcément avoir une copine. Après tout il était un auteur célèbre et les filles devaient se bousculer à son portillon.
Or donc, la jeune femme dont la chevelure était coiffée en un chignon tressé sur la nuque, inspecta l’immense penderie qui regorgeait de tenue qu’elle avait acheté dans des magasins dégriffés, des friperies pour certaines pièces vintages, sur des sites de ventes privées en ligne et pour ces plus belles pièces dans des magasins de la 5ème avenue ou chez Bergdorf ou Macy’s. Oui, il y avait des centaines de tenues mais aucune ne semblait avoir grâce à ses yeux. Si bien que quatre à quatre elle descendit les escaliers qui menait de son 2ème étage jusqu’au rez-de chaussée pour parvenir à la buanderie commune. Là elle trouva accrochée sa petite robe fêtiche. La robe était simple, noire, sans fioritures mais elle mettait en valeur ses épaules, ses jambes mais ne dévoilait pas trop sa poitrine. Et oui cette robe était celle qu’elle portait pour présenter un nouvel auteur au comité directeur, celle qu’elle portait pour signer un nouveau contrat, celle qui lui avait fait remporter bien des batailles. Alors d’un geste rapide elle passa la robe et admira sa silhouette puis entreprit de chausser ses escarpins Manolo Blanik rouge carmin à brides qu’elle avait eus pour son 35ème anniversaire. Elle regarda à nouveau sa mise devant le miroir et apprécia son reflet.

Rapidement elle passa dans la cuisine où un petit mot l’attendait sur la porte du frigo « Hello Mac, n’oublie pas d’aller chercher le linge au pressing. Bon courage pour le boulot. Xoxo Kay. » La jeune femme râla un peu à l’attention de sa coloc’. Et oui parce que c’est bien Kate qui devait s’occuper du linge hier soir et non elle ! Bref, elle allait devoir se passer de sa séance de yoga ce soir pour courir en plein downtown à sa place. 8h sonna et alors Mac comprit qu’elle n’avait plus que 10 minutes pour arriver à la station de métro. Elle versa un café dans son mug en métal, le referma attrapa son sac birkin, sa veste rouge, ses clefs, son téléphone puis fila sans attendre. Le métro permit à Mackenzie de lire les quelques pages que Jethro lui avait envoyé pour la faire patienter. Son style était fluide, enlevé et il arrivait toujours à surprendre le lecteur et à le mener exactement où il le souhaitait avec subtilité. Combien d’auteurs de son âge pouvaient se targuer d’avoir autant de talent.

Arrivée à 8h30, la jeune femme passa la matinée avec un comité de lecture afin de mettre en avant les nouveaux auteurs qui feraient fureur pour les fêtes de fin d’années. C’était une étape importante pour la maison d’éditions et il était hors de questions de ne pas tenir compte du panel type des 15-35 ans pour ce livre de distopie qu’elle voulait mettre en avant. La jeune auteure qu’elle soutenait était une jeune fille de 21 ans qui avait une plume à faire pâlir l’auteur de Hunger Games. Mackenzie croyait en elle autant qu’elle croyait en Jethro et elle se servit de cet argument pour convaincre le comité. Pour son plus grand plaisir, sa tenue de guerrière avait une fois de plus remplie son office et sa petite protégée avait eu les honneurs du comité. La jeune assistante d’édition rejoignit pour un déjeuner léger, sa meilleure amie, artiste de renom dans le monde du spectacle. La conversation roul sur les derniers potins, les nouveaux sons à écouter, les nouveautés littéraires et pour finir sur Jethro et sur le fiancé de son amie. Elles passèrent un très bon moment bien que trop court à leur goût.

A 13h Mackenzie était déjà de retour à son bureau et commença la lecture d’un chapitre qu’on venait de lui envoyer. L’histoire n’était pas mauvaise bien que certaines ficelles étaient un peu grosses et le lecteur arriverait à la conclusion avant même la fin à ce rythme. Elle allait devoir faire preuve de tact pour expliquer à son jeune auteur qu’il devait remanier son chapitre et peut-être introduire un climax ou un personnage négatif afin d’apporter un peu de peps et de rebondissement à son intrigue. Mac prit quelques notes puis recommença à lire de façon encore plus immersive afin de comprendre les ressorts du livre à venir. C’est donc avec surprise qu’elle entendit la voix de Jethro lui dire qu’il espérait qu’elle lirait ce qu’il lui apportait avec autant d’intérêt. « Avec bien plus de plaisir surtout. Et j’espère que vous m’apportez le prochain nobel de littérature » plaisanta-t-elle en essayant de reprendre un peu de contenance. Soudain elle se rendit compte qu’elle avait enlevé ses chaussures afin d’être plus confortable. « Entrez, entrez Jethro, vous ne me dérangez pas du tout. » ajouta-t-elle après qu’il s’excusait de son avance. « Etre en avance est la politesse des rois et des grands de monde » dit-elle en lui offrant un sourire chaleureux. « Vous voulez bien m’accorder une petite minute… » demanda-t-elle en essayant de remettre ses escarpins avec difficulté en les maudissant intérieurement. Une fois debout elle alla lui serrer la main, le cœur battant, le sourire aux lèvres, le regard prêt à plonger dans le sien. Il lui faisait vraiment de l’effet et il fallut une petite minute à Mackenzie pour remettre ses idées en place. « Et si nous nous installions là » indiqua-t-elle en désignant le canapé et le fauteuil club qui occupait un espace face à la vue sur New-York. « Est-ce que mon auteur préféré aurait une bonne nouvelle à m’apprendre ? » un sourire mutin se dessina sur ses lèvres « Voulez-vous un thé ? Un café ? Une eau minérale ? Une boisson fraîche ? » offrit-elle en joignant le geste à la parole.
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MessageSujet: Re: i didn't come empty handed. (mackenzie)   i didn't come empty handed. (mackenzie) EmptyVen 21 Sep - 15:24

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Seymour ft. Mackenzie

Plus d'une personne aimerait être à sa place, ça il le savait. Né dans une famille où l'argent n'a jamais manqué, faire les plus prestigieuses écoles du pays, avoir ce qu'il voulait quand il voulait en étant môme, tous les clichés qu'on a des enfants de riches que d'autres échangeraient contre leur propre vie s'ils le pouvaient. Oui mais même si cette enfance dorée semblait être une bénédiction, à l'heure qu'il était pour lui, c'était plus un fardeau qu'autre chose, enfin plus le fait que parce qu'il était fils unique et fils de, ça le mettait dans la position d'héritier et successeur et il ne voulait pas de cette place justement. Pas qu'il veuille contrarier son père parce qu'ils étaient en froid non, mais ça n'était simplement pas qui il était. Lui préférait les mots aux chiffres mais même si à présent il était un adulte responsable, parler à son père restait quelque chose qui l'effrayait. Ridicule hein ? Mais il savait très bien que son paternel avait misé sur ça depuis qu'il savait que sa femme allait lui offrir un fils. Comment pouvait-il donc décemment ruiner ça, surtout que ça lui évitait la peine de devoir se trouver un boulot et  qu'en principe ça rendrait tout le monde heureux. Parce que tout bonnement, il savait qu'il ne pourrait pas évoluer dans ce domaine bien longtemps avant de devenir dingue et de perdre son habituel joie de vivre. Il n'était pas un redoutable négociateur, il détestait les faux-semblants et le monde de requins de la finance et ce même si durant 4 ans il avait du étudier ses ficelles à la fac pour pouvoir se faire plaisir quand même, puisque c'était la condition sinequa none pour qu'il puisse aussi étudier les lettres comme il l'avait toujours voulu. Sauf que oui, en principe son père se fichait bien de ce que lui voulait faire de sa vie vu qu'il l'avait déjà programmée pour lui depuis le jour de sa naissance.

Et tout ça revenait le hanter de plus en plus souvent ces derniers temps, parce qu'il ne voulait plus avoir à mentir à tout le monde quand à ce qu'il faisait pour gagner sa vie. Y compris quand il devait passer une bonne journée comme c'était le cas aujourd'hui puisqu'il allait non seulement revoir son prof, celui qui l'avait encouragé à se lancer et même s'il ne se l'avouait pas, était devenu une seconde figure paternelle pour lui au fil du temps mais surtout parce qu'il avait rendez-vous à sa maison d'édition pour donner la version définitive de son dernier opus. Et qui disait se rendre là-bas voulait dire qu'il allait voir Mackenzie. La jeune femme le faisait sourire sans même qu'il le réalise, mais ça c'était tout simplement parce qu'il était sous le charme. Comment ne pas l'être après tout ? Une femme avec du répondant, indépendante, avec de l'humour et délicieusement séduisante. En plus ils parvenaient toujours à avoir des conversations soutenues avec aisance et forcément, lui qui trouvait toujours qu'il parlait trop, il appréciait d'avoir quelqu'un avec qui parler plus librement sans sentir qu'il passait pour un  type ennuyant et prétentieux parce qu'il sortait de grandes écoles comme d'autres fils de qui de ce fait pensaient que le monde leur était dû. Et c'était tout ce qu'il ne voulait pas être et après avoir déjà eu quelques mauvaises expériences côté vie privée après avoir compris que c'était plus son compte en banque qui pouvait intéresser que sa personnalité, prendre un nom de plume pour se lancer dans cette aventure qu'il voulait suivre depuis tout petit lui avait sembler être la meilleure chose à faire. Mais aujourd'hui son idée de génie prenait de plus en plus l'air d'avoir été la pire décision de cette dernière. Surtout qu'il ne désirait pas que Mackenzie pense qu'il était comme tous les autres mecs, prêts à mentir pour obtenir ce qu'ils voulaient de la part d'une femme car en vérité, il n'avait vraiment rien à voir avec ce genre d'ordures, bien au contraire, lui qui était plus du genre romantique.

Quoi qu'il en soit, il mettait tout ça de côté alors qu'il arrivait à l'étage qui abritait le siège central de sa maison d'édition et il ne voulait pas qu'on puisse déceler ce qui le travaillait car on le questionnerait alors et là encore, il devrait mentir et il n'avait pas envie de rajouter encore une autre couche de mensonges dans sa vie pour le moment. Enjoint d'aller rejoindre la jeune femme dans son bureau, il s'y avança et trouvant la porte entrouverte, il jeta un coup d’œil dedans pour la trouver plongée en pleine lecture et il sourit aussitôt. Elle avait l'air vraiment captivée et il devait admettre que ça la rendait encore plus jolie. Balançant alors un trait d'humour pour signaler sa présence à la jeune femme, il pénétra dans la pièce et la salua, sourire aux lèvres et tentant de ne pas laisser trop voir combien il était nerveux de la revoir. « Ouh la, Nobel je ne pense pas, que les lectures l'apprécient m'ira déjà très bien. » répondit-il en riant doucement, voyant alors qu'en effet, la jeune femme était pieds nus à son bureau et ça l'amusa. Au moins elle s'était réellement mise dans de bonnes conditions pour lire pensa-t-il, tout en hochant la tête pour lui faire comprendre qu'il attendait bien sagement qu'elle remette ses chaussures pour venir l'accueillir et le saluer. Il espérait d'ailleurs qu'il n'ait pas les mains moites mais pas le temps de trop se focaliser sur ça puisqu'elle l'invitait à prendre place et il ne se le fit pas dire deux fois. « Préféré ? Vraiment ? Je suis sûr que vous dites ça à tous vos clients. » lança-t-il en plaisantant avant de reprendre la parole pour lui répondre quant à son choix de boisson. « De l'eau ça ira très bien merci. » Oh non, pas de caféine pour le moment où il allait être encore plus nerveux et donc prompt à dire une bêtise durant leur rendez-vous. « J'apporte la version définitive du nouvel opus. Si on peut considérer ça comme étant une bonne nouvelle, bien entendu. » ajouta-t-il en souriant tandis qu'elle revenait avec une bouteille d'eau qu'elle déposa devant lui sur la table basse qui se trouvait entre eux. Bon sang, elle était vraiment très à son avantage dans cette petite robe noire...
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Mackenzie Wyatt
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MessageSujet: Re: i didn't come empty handed. (mackenzie)   i didn't come empty handed. (mackenzie) EmptySam 22 Sep - 14:19

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Wesley Aka Jethro ft. Mackenzie


Sa réponse à la petite plaisanterie sur le prix nobel, fut à la fois sympathique et surtout elle lui ressemblait. Lorsque Mackenzie avait rencontré Jethro pour la première fois, elle avait remarqué sa façon d’être aimable avec tout un chacun, son sens de la répartie mais surtout une forme d’humilité qui n’était pas l’apanage de tous les auteurs. « Vos lecteurs adorent vos livres et je suis sûr que le prochain ne fera pas exception. » Pour lui les lecteurs étaient vraiment important, il prenait toujours le temps de répondre aux lettres que des fans lui faisaient parvenir via sa maison d’éditions. Et que dire des séances de dédicaces dans les petites librairies qui avaient un succès fou. D’ailleurs elle ne comprenait pas vraiment pourquoi il insistait toujours pour que les séances soient faites dans de petites structures plutôt que dans des enseignes qui vendaient ses livres par milliers. Cette demande était ce que Mackenzie appelait « les petites excentricités » de ses auteurs. Celles de Jethro étaient somme toute facile à satisfaire car cela avait plus avoir avec la notoriété, avec sa place de personnage publique plutôt qu’en terme d’avance sur ouvrage par exemple. Sur ces entrefaites, l’homme qui la charmait à chacune de ses visites entra dans son bureau sur son invitation et aperçut, non sans qu’elle tenta de les dissimuler, ses pieds nus. Rougissant un peu, elle fit de son mieux pour ne rien laissait paraître. Ce n’était pas très professionnel d’être dans cette tenue mais elle aimait se sentir comme chez elle lorsqu’elle devait lire un ouvrage. Cette habitude des pieds nus, elle l’avait prise à Yale avec le Professeur de littérature anglaise, Serafina Donavan. Ce cours était réservé aux élèves de Master et l’enseignante avait profité du nombre restreint d’étudiants pour aménagé sa salle de cours non pas comme une pièce froide et impersonnelle avec des tables formant un U mais comme une espèce de salon avec des canapés, des coussins et des tapis de sols. Pour Mrs Donavan, avoir un environnement et une tenue idéale pour lire était le début d’une concentration et d’une implication immédiate dans le récit. Au début Mackenzie avait été sceptique, elle avait même failli comme d’autres demander à changer d’enseignant, puis à force elle s’était rendue compte que cette méthode avait accru ses capacités à se focaliser sur un sujet.

Après avoir invité à s’installer le jeune homme vêtue d’un jean et d’un t-shirt blanc, qui moulait son corps juste ce qu’il fallait pour émoustiller la gente féminine, elle le taquina en disant qu’il était son préféré, même si c’était sous couvert de vérité puisqu’elle estimait vraiment ses talents d’auteur. Amusée pas sa répartie franche et pleine d’humour Mackenzie lui répondit-elle sur le même ton « Oh vous me prenez pour une charmeuse Jethro ? Franchement ça m’étonne de vous. » Un air de connivence sur le visage elle continua « Sachez une chose, homme de peu de foi, Je ne publie que les auteurs que j’apprécie. » Un sourire un rien enjôleur apparut sur ses lèvres mais il disparu lorsqu’elle se rendit compte qu’elle n’avait rien offert à boire. Une fois sa question posée, le jeune auteur l’informa de son choix.  Joignant le geste à la parole, Mac alla chercher dans un petit frigo proche de son bureau une bouteille d’eau et pour elle c’est un thé glacé qu’elle prit. Lorsque Mackenzie entendit Jethro lui dire qu’il amenait la version définitive de son nouveau roman, elle eut un petit pincement au cœur. Et oui car qui disait roman terminé disait moins de rendez-vous qu’à l’accoutumés. Bien sûr il y aurait les décisions à prendre pour le choix de la couverture du livre, les tournées littéraires et les séances de signatures, et les invitations radiophoniques pour la promotion du livre mais tout cela pouvait se régler par téléphone ou directement avec le service communication de Ransom House. Et même si le jeune auteur écrivait un roman par an voire deux, cela voulait dire qu’ils se verraient moins et cela chagrinait la jeune assistante d’éditions. Sur son visage passa une ombre de déception vite chassée par un sourire franc et enjouée. En déposant les boissons devant chacun d’eux, elle entama à nouveau la conversation « Jethro, votre respect des délais, et ici je dirais même votre avance, va finir par mettre à mal vos collègues qui ont tendance à toujours rendre leur opus avec un à deux mois de retard. »  En prenant soin de ne pas froisser sa petite robe noire, elle s’installa sur le canapé en face de son auteur, qui était bien son préféré quoi qu’il puisse s’imaginer. Mackenzie aimait ses romans bien avant de travailler pour Ransom House et lorsqu’elle s’était vu confiée la correction de ses écrits puis l’édition de ses livres elle avait mesuré sa chance. Combien de jeune assistante d’édition pouvait se targuer d’avoir dans son panel d’auteurs une pépite comme lui qui faisait des Best-Sellers à chacun de ses opus ? Son responsable d’éditions lui avait apprit les ficelles du métier avec application car il avait senti en elle la fibre d’une future grande éditrice. L’un de ses conseils les plus précieux était de ne jamais se compromettre avec un auteur dont on n’apprécie pas le travail. Il lui avait fait comprendre que pour bien travailler avec un écrivain il fallait croire en lui, en croire en l’histoire qu’il raconte. C’est pourquoi Mackenzie lisait chacun des livres qu’elle recevait afin d’être sûr de ne pas passer à côté d’une « pépite ». Elle voulait pouvoir également se regarder dans une glace lorsqu’elle devait expliquer à quelqu’un qui avait son âme dans les mots qu’il avait couché sur le papier pourquoi elle ne l’éditerait pas ou pourquoi il fallait faire des modifications ou des coupes franches dans le récit. Etre une bonne assistante d’édition cela voulait parfois dire être obligé de dire ses vérités à un auteur. Heureusement la jeune femme avait un sens critique aigu et surtout elle faisait toujours preuve de diplomatie dans ses propos. « Justement ce matin, dans le métro, j’ai relu les dernières feuilles que vous m’aviez fait parvenir et je dois dire que je suis vraiment emballé. Je suis sûre que l’ensemble sera de la même veine. J’ai hâte de pouvoir le lire d’un seul tenant ». Son regard pétillait d’excitation et de bienveillance à l’égard de cet homme si cultivé, si intelligent et qui ne se rendait pas compte à quel point il était un brillant auteur. Comme si elle venait d'être piqué par quelque chose la jeune se leva d'un bond. Elle ne doutait pas que cela piquerait la curiosité de Jethro. D'un pas décidé, elle sortit sans mots dire de son bureau puis revint quelques minutes plus tard avec une boite en carton. «J'ai une surprise pour vous» dit-elle tout sourire «Vos lecteurs sont impatients apparemment, nous avons reçu pas mal de courriers pour vous.» Sans plus de cérémonie, la jeune femme déposa la boite en face du jeune auteur et souleva le couvercle pour dévoiler des centaines de lettres.
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MessageSujet: Re: i didn't come empty handed. (mackenzie)   i didn't come empty handed. (mackenzie) EmptyLun 24 Sep - 11:39

— i didn't come empty handed. —
Seymour ft. Mackenzie

Oui, contrairement à toutes attentes sachant de quel milieu il venait à la base, Wesley ne prenait jamais les gens de haut parce qu'il ne s'estimait pas supérieur à eux juste parce que son père était riche. Tous à sa place n'en faisait pas autant hélas mais oui, lui avait cette décence là de traiter les gens avec le respect que tout à chacun méritait en théorie. Quant à sa répartie naturelle, ça ça tenait à son caractère tout simplement. « Espérons que ça soit le cas encore une fois oui. » répliqua-t-il sans fausse modestie. Les autres opus avaient connus un succès jusque là mais ça n'était pas pour autant qu'il estimait gagné d'avance celui de ce nouveau tome. Certes il avait repris les mêmes recettes pour continuer les péripéties de son personnage principal et tout ce qui avait fait que les lecteurs appréciaient ses bouquins mais qui sait si la magie opérerait une fois de plus ? Et évidemment que sa préoccupation principale en écrivant c'était les lecteurs, sans eux il n'en saurait pas là aujourd'hui. Presque une dizaine de livres à présent et toujours autant de plébiscite auprès d'eux et il tenait donc, autant qu faire se peut, à leur répondre personnellement même si ça prenait un temps fou vu que le courrier ne cessait de croître en volume au fil des années. Puis là au moins, en répondant par courrier, il ne prenait pas le risque qu'on le reconnaisse. C'est bien pour ça que sa seule 'lubie' d'écrivain était de faire sa promotion dans les petites villes, des librairies où ses éventuelles connaissances ou celles de ses parents ne pourraient pas le voir. Heureusement qu'elle ne l'avait jamais interrogé avec insistance sur le pourquoi de cette exigence. Entrant à présent vraiment dans son bureau, oui, il ne lui échappa pas qu'elle était pieds nus mais ça ne le dérangeait pas, lui aussi aimait se mettre à l'aise quand il travaillait ou voulait lire. Il comprenait donc qu'elle en fasse autant puis ça l'amusait de la voir ainsi si gênée pour si peu.

Venant s'installer dans le fauteuil face au canapé, il se permettait en effet de rebondir sur ce qu'elle venait de lui lancer, parce qu'évidemment, il ne pouvait pas laisser passer une telle remarque. Son auteur préféré. Il ne doutait pas qu'elle était sincère en disant ça (et ça le flattait beaucoup ça va s'en dire) mais pour la taquiner, il suggérait qu'elle devait dire ça à tous ses poulains, histoire de les mettre en confiance. « Charmeuse n'est pas le terme que j'aurais employé dans ce cas. » rétorqua-t-il le sourire au coin des lèvres, qu'il conserva vu ce qu'elle ajouta pour se défendre. « Ce qui ne fait que renforcer mon point. » fit-il remarquer, toujours sur le ton de la plaisanterie. C'était tout simplement un moyen psychologique d’enjôler ses auteurs, du positivisme passif si vous voulez même. La technique était efficace et largement employée de nos jours par les grands patrons soucieux de ne pas être traiter de trop indélicats face à leurs employés. Comment il en savait autant là-dessus ? En ayant vu son père à l’œuvre dans cet exercice et ce avant même d'apprendre ce genre de choses durant son cursus en économie. Lui annonçant donc la raison de sa venue, lui aussi était un peu triste qu'il ait déjà fini car ils se croiseraient moins à présent par la force des choses. Il restait bien entendu des détails à régler mais en effet, la majorité pouvait se faire à distance comme ça se faisait maintenant grâce aux moyens de communication modernes. Mais bon, ça n'était pas comme s'il allait lui manqué, elle avait bien assez à faire de ses journées pour ne pas se soucier de ça, pas vrai ? Puis même s'il n'avait pas remarqué de bague à son doigt, il se doutait bien que quelqu'un avait été assez futé pour lui mettre le grappin dessus, une telle femme ça ne se laissait pas passer. Lui ne ferait pas cette erreur là s'il en avait la chance. Riant de bon cœur à ce qu'elle dit en revenant avec leurs boissons, il esquissa un léger sourire. « Promis la prochaine fois je prendrais mon temps alors, surtout si ça me permet de revenir vous embêter plus souvent. » déclara-t-il tout en l'observant prendre place face à lui, ne pouvant s'empêcher de noter combien en effet cette robe la mettait en valeur et il se repris en ouvrant sa bouteille pour en prendre quelques gorgées et se redonner contenance, même si ça ne serait que temporaire comme alternative de distraction pour lu. Bah oui, il n'était pas aveugle le bougre, difficile de ne pas remarquer combien elle était séduisante et tout à fait son type de femme en plus, pour ne rien arranger.

Wesley lui était content d'être tombé sur des gens compétents ici, car avoir une bonne maison d'éditions, c'était aussi nécessaire pour un écrivain, savoir qu'on avait une équipe sur qui compter derrière soi, même si c'était lui qui faisait le plus gros du travail en écrivant le livre, la promotion et tout le reste restait une bonne partie de ce qui faisait aussi un succès pour un roman donc autant dire qu'il n'avait rien à redire sur sa collaboration avec eux depuis presque une dizaine d'années déjà. Mais bien entendu, il était encore plus ravi à présent que la jeune femme s'occupait de lui au sein de l'agence. Cette dernière reprenait la parole et lui faisait part de son ressenti sur les dernières pages qu'elle avait pu lire le matin matin sur le chemin du travail. « Espérons que vous ne soyez pas déçue après la lecture complète alors. » répondit-il en souriant, car en principe ça devrait être le cas. Il respectait son style d'écriture, pas forcément encore comparable à de grands noms du milieu à qui l'on pouvait attribuer une œuvre sans hésitation rien qu'en lisant quelques pages mais oui, il commençait à prendre ses marques et à faire ses preuves. Car non, il ne prenait clairement pas la grosse tête malgré les bonnes ventes de chacun de ses bouquins, ça c'était dans son caractère de toute façon, on ne le changerait plus. Après tout, il écrivait pour partager sa passion et laisser libre court à son imagination, pas pour faire fortune, ça il l'avait déjà et il s'en serait passer dans certaines situations d'ailleurs. L'observant alors soudainement bondir de son canapé, comme si on venait de la piquer avec une épingle et ça ne manqua pas de l'étonner, ça c'est évident, se demandant bien ce qui venait de se passer, d'autant plus qu'elle quittait la pièce. Mais la voyant revenir quelques instants plus tard avec un carton entre ses mains, il compris de quoi il s'en retournait et sourit. « Et quelle surprise. » commenta-t-il, la laissant faire et constatant qu'en effet, il y avait dans la boite pas mal de courrier. « Voilà de quoi occuper mes soirées en solitaire pour les semaines à venir. Merci bien. » dit-il en souriant même s'il ne plaisantait pas pour une fois. Jetant un coup d’œil dans la boite, il lui sembla déjà reconnaître une écriture familière mais il verrait bien si c'était bien qui il croyait que c'était plus tard. « Si ça continue comme ça, je devrais me résoudre à faire mes réponses sur ordinateur, ou je risque la tendinite à coup sûr. » Évidemment, il se fichait bien de se faire mal au poignet à force d'écrire autant mais c'était plus les délais de réponse qui l'inquiétait, il essayait toujours de répondre au plus vite mais face à tant de courrier, c'était en effet une option qu'il devait peut-être commencer à envisager pour gagner un peu de temps.
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